Comment choisir son miel ?
Où acheter du vrai miel ?
Chez nous bien entendu !
Qui mieux que votre apiculteur et producteur de miel bio peut vous garantir que vous consommez et achetez du vrai miel ?
Comment choisir son miel ? Quel casse-tête de nos jours pour savoir ce que nous consommons comme miel…
Occimiel vous dit tout sur le miel et comment savoir si vous en consommez du vrai !
Oui !
Le logo AB garantit pour l’essentiel que les abeilles n’ont pas reçu de traitement antibiotique et qu’elles n’ont butiné que des fleurs sauvages ou issues de cultures bio (en général tournesol ou colza). La nourriture éventuellement apportée aux ruchers durant la période hivernale ne peut être que du miel ou du sucre certifiés AB.
Le miel peut être liquide, solide ou cristallisé. À la sortie de la ruche, le miel est toujours liquide, mais une fois extrait et mis en pot il va cristalliser plus ou moins vite, selon sa composition. Ainsi, le miel de colza cristallisera juste après son extraction alors que le miel d’acacia restera toujours liquide.
Les miels qui cristallisent à gros grains ne sont pas toujours appréciés des consommateurs. C’est pourquoi certains apiculteurs procèdent à une malaxation à froid, de façon à obtenir une texture crémeuse.
Le choix de la consistance du miel est affaire de goût mais aussi de mode de consommation. Liquide, le miel sera idéal pour sucrer yaourts, tisanes, crêpes et autres desserts. Alors que, crémeux, il s’étalera bien sur les tartines sans couler à travers les trous !
Pour qu’il soit possible de spécifier l’origine florale ou végétale d’un miel, par exemple « miel de lavande » ou « miel de romarin », celui-ci doit provenir essentiellement de la source mentionnée. Il ne sera jamais mono-floral à 100 %, mais le pollen de l’origine botanique indiquée doit être dominant, même si la réglementation ne fixe pas de seuil. Chaque miel mono-floral a ses caractéristiques organoleptiques et physico-chimiques, des plus doux (miel d’acacia, de romarin, de tilleul…) aux plus typés (arbousier, châtaignier, lavande, tournesol, thym…).
La végétation spécifique d’une région confère aux miels produits dans cette zone un goût particulier. Des saveurs de terroir parfois garanties par des signes de qualité et/ou d’origine : IGP (Indication géographique protégée) pour le « miel de Provence » ou le « miel d’Alsace », AOP (Appellation d’origine protégée) pour le « miel de Corse » ou le « miel de sapin des Vosges ». Certains miels, comme le « miel de sapin d’Alsace », le « miel de lavande » et le « miel toutes fleurs » de Provence bénéficient aussi d’un Label Rouge, signant une qualité supérieure.
Il existe également sur le marché des dénominations plus ou moins floues telles que « miel de montagne », « de forêts », « de garrigue », « de bocage », etc., même si les producteurs qui les utilisent doivent pouvoir les justifier en cas de contrôle. Seule le « miel de montagne » est une appellation officielle.